Malheureuses celles qui ne donnent pas libre champ à l’amour, ni dans la douceur du vin ne lavent leurs peines ou se glacent de peur à l’idée de la langue cinglante d’un oncle.
De tes mains la corbeille, l’enfant ailé de Cythérée, de tes mains les toiles et ton zèle pour Minerve laborieuse, les éloigne, Néobulé, la beauté d’Hébrus de Lipara
quand il vient de baigner ses épaules huilées dans les eaux du Tibre, cavalier meilleur que Bellérophon lui-même, au pugilat, à la course (…)
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Horace, Odes III 12 | Les malheureuses