Déjà, cortège du printemps, donnant tempérance à la mer, mettent les voiles en mouvement les airs qui soufflent de la Thrace, déjà ni les prés ne sont plus transis, ni les fleuves ne grondent plus, enflés de neige hivernale.
Elle fait son nid en pleurant Itys avec grande tristesse,5 oiseau de mauvaise fortune et de la maison de Cécrops éternel opprobre, d’avoir si affreusement des barbares passions de rois tiré vengeance.
Ils disent parmi les tendres herbages, surveillant (…)
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Horace, Odes IV 12 | Délirons un peu !